[REPLAY] Conférence "Les vies low-tech, conviviales et écologiques ?"
Date de publication : 17 mai 2022
Le mois dernier, Quentin Mateus du Low-tech Lab intervenait à la table ronde inaugurale de l’exposition “Les Vies qu’on Mène” organisée par le Forum Vies Mobiles à la Cité Internationale des Arts de Paris.
NB : Le Forum Vies Mobiles est un think tank autonome initié par la SNCF, qui explore l’impact de la mobilité sur nos vies.
Cette exposition à l’entrée libre et gratuite réunit jusqu’au 19 mai plus de 400 photos du collectif Tendance Floue, autour de la manière dont notre capacité à nous mouvoir, à nous déplacer dans l’espace, le territoire et la société, conditionne profondément nos vies, nos choix, nos relations, et de ce que cela laisse présager quant à des modes de vie futurs moins dépendants, plus durables, et plus heureux — vous avez dit plus low-tech ?
Intitulée “les vies low-tech, conviviales et écologiques ?”, cette conférence inaugurale, première d’un cycle de trois échanges, avait justement pour objectif d’interroger les définitions de la démarche low-tech, ses implications sociétales et son interprétation dans le domaine des mobilités, afin de se projeter dans ce monde ou la mobilité a repris sa juste place, est revenue, techniquement et temporellement, à l’échelle de l’être humain. Et ce, au travers de plusieurs témoignages :
- celui de l’ingénieur philosophe Olivier Lefebvre, membre de l’Atécopole, Atelier d’écologie politique de Toulouse, et notamment de son travail critique autour du véhicule autonome,
- celui de Livia Balbouse, membre de la collégiale de l’Heureux Cyclage, réseau français d’ateliers de réparation de vélo,
- et celui de Quentin Mateus, de ses travaux sur la possibilité de mobilités plus low-tech depuis son arrivée au sein du Low-tech Lab, et en particulier dans le cadre des Enquêtes du Low-tech Lab qui ont pu s’intéresser à ce sujet (#spoileralert : la prochaine enquête à paraître rapporte la rencontre de Cargonomia à Budapest en Hongrie et de Veloma à Bressuire dans les Deux Sèvres).
N’hésitez pas à la revisualiser dans sa totalité, et à (re)faire un tour à la Cité des Arts de Paris avant le 19 mai, ou encore à feuilleter le livre de l’expo, agrémenté d’un texte de Nicolas Mathieu.